1 mai 2020

Jour 46

" Le 1er Mai, on lâche rien, le 2 Mai on continue ". A Arras, dans son appartement, François et l'équipe de Colères du présent, inventent l'évènement numérique "le Monde d'après" en remplacement du Salon du Livre d’expression populaire et de critique sociale. Comme un revival de radio pirate, les débats en direct, les créations d'artistes, les lectures d'écrivains s'enchaînent pendant deux jours et explorent de nouvelles pistes entre utopie et réalité. © Eric Le Brun / Light Motiv
3 mai 2020

Jour 48

Vincent, jeune agriculteur dans un petit village de l’Avesnois, vit le confinement à l’air libre dans ses champs pour conduire les récoltes. Il s'interroge en cette période de crise sur l'avenir de sa profession. Quel virage prendre entre les enjeux de consommation locale et le système mondialisé d'approvisionnement ? © Quentin Pruvost / Light Motiv
4 mai 2020

Jour 49

La crise sanitaire se transforme en difficultés alimentaires chez les plus pauvres. Des initiatives solidaires tentent d'y répondre. Pour apporter son soutien à l'action portée par l'association Lumières de l'Inde, le restaurateur Gilberto D'Annunzio a décidé de contribuer avec l'aide de ses fournisseurs, à la distribution de sacs de nourriture destinés au campement rom de la Chaude Rivière, proche du périphérique lillois. © Renaud Wailliez / Light Motiv
5 mai 2020

Jour 50

Aux Trois-Ponts à Roubaix, quartier souvent stigmatisé, un groupe de jeunes a décidé de prendre en main la collecte alimentaire pour distribuer les dons aux plus démunis. Durant ce porte-à-porte, l'entraide des habitants s'est manifestée de façon exceptionnelle, confortant ces jeunes dans la pertinence de leur initiative citoyenne. © Anouk Desury / Light Motiv
6 mai 2020

Jour 51

"Ou bien, il arrive qu'un animal, muet, lève les yeux nous pénétrant de son calme regard" - En ville, l'activité humaine a brusquement ralenti, laissant la place à de nouveaux visiteurs inattendus. Ici à Bruxelles, sur un trottoir du quartier St-Gilles, un renard peu craintif prend la pose devant l'objectif du photographe. © Charles Delcourt / Light Motiv
7 mai 2020

Jour 52

D'habitude, chaque cheval confiné en box a besoin d'au moins une heure d'exercice physique par jour. Cela fait presque deux mois que les centres équestres sont fermés au public. Durant cette période stressante pour les chevaux, il faut néanmoins veiller à leur équilibre. Le rôle du palefrenier, seul contact humain de la journée, devient alors essentiel, comme ici Adrien et Upsala à Marcq-en-Baroeul. © Lucas Dumortier / Light Motiv